Aujourd'hui dans la tête de Kate, un jeu macabre se déroule en Angleterre, et une seule issue est possible: vivre ou mourir ?
Résumé:
Un thriller phénomène dans lequel des victimes prises au piège d'un tortionnaire retors doivent choisir entre tuer ou être tuées.
Deux jeunes gens sont enlevés et séquestrés au fond d'une piscine vide dont il est impossible de s'échapper. À côté d'eux, un pistolet chargé d'une unique balle et un téléphone portable avec suffisamment de batterie pour délivrer un terrible message : " Vous devez tuer pour vivre. " Les jours passent, la faim et la soif s'intensifient, l'angoisse monte. Jusqu'à l'issue fatale. Les enlèvements se répètent. Ce sont les crimes les plus pervers auxquels le commandant Helen Grace ait été confrontée. Si elle n'avait pas parlé avec les survivants traumatisés, elle ne pourrait pas y croire. Helen connaît les côtés sombres de la nature humaine, y compris la sienne ; pourtant, cette affaire et ces victimes apparemment sans lien entre elles la laissent perplexe. Rien ne sera plus terrifiant que la vérité.
Mon avis:
Un an après ma découverte de La maison de poupée du même auteur, je lis enfin le roman qui a fait connaître Arlidge.
Thriller rythmé aux multiples rebondissements qui malmène encore une Helen Grace déterminée et redoutable.
Quel est le lien entre les victimes ? il y en a forcément un puisqu'elles sont traquées avant d'être kidnappées.
Pourquoi doivent-elles choisir entre tuer ou être tué ?
Comment vivre ensuite avec la mort de son compagnon d'infortune sur la conscience ?
Combien de temps les victimes peuvent-elles tenir sans manger ni boire avant de se décider à faire l'innommable ?
Que seriez-vous prêt à faire pour survivre ?
Tant de questions qui mettent le lecteur dans la position inconfortable et parfois même insupportable du témoin impuissant.
Je n'avais pas deviné l'identité de la tueuse, et encore moins ses motivations. J'ai suivi les fausses pistes comme une novice, j'étais dans le flou total, et j'ai adoré ça. Toutefois, j'ai trouvé la fin un peu abrupte. Mais après tout, Helen est comme ça: directe, franche, brut de décoffrage.