Résumé:
DIX JOURS, DOUZE CONCURRENTS, DEUX MILLIONS EN LIQUIDE.
Ce qui a première vue apparaît être la chance de sa vie pour Damien Banks se révélera par la suite être le pire cauchemar imaginable. Coincé dans une maison avec onze étrangers, et la voix tonitruante du ‘Propriétaire’, il est contraint de participer à cette compétition non seulement pour l’argent, mais aussi pour sauver sa propre vie. Et celle de son meilleur ami et mentor.
De toute évidence, il ne peut faire confiance à personne, surtout depuis qu’une liste citant les crimes commis par les participants a été affichée sur un mur: TRICHEUR, ASSASSIN, ABUSEUR, PUTAIN, TRAÎTRE, ESCROC, REVENDEUR, PRÉDATEUR, MILITANT, VOLEUR.
Que signifie cette liste, et qui est le Propriétaire? Seul le temps le dira, mais Damien doit s’assurer de terminer vainqueur, car tous les perdants sont éliminés, littéralement.
Que les jeux commencent. Êtes-vous prêts?
Mon avis:
Je viens tout juste de finir ce livre et je n'ai pas grand chose à en dire à part que je ne suis pas sûre d'avoir compris l'épilogue, ce qui est dommage car c'est justement de connaître l'issue qui donne envie de progresser dans la lecture de ce roman.
Les candidats ne sont pas des personnages très travaillés. Les petits détails tournent surtout autour de Damien et de Dani. On en apprend plus sur les gens seulement quand ils sont morts.
Il est vrai qu'il y a quelque chose de la saga SAW.
Les jeux mortels sont assez machiavéliques et élaborés, mais les participants ont toujours une chance de s'en sortir vivant. On ne s'attache pas à eux car on sait qu'ils ne sont pas de parfaits innocents si Jigsaw/le Propriétaire les a piégés.
Malgré tout je préfère de très loin les films SAW car l'histoire derrière les jeux est bien plus intelligente et complexe que dans le roman de Iain Rob Wright où l'auteur se contente de lister quelques mobiles assez classiques.
L'identité du Propriétaire est tirée par les cheveux selon moi, et pour le coup cela me fait un peu penser à un autre film: American nightmare.
Il manque un truc à ce roman pour que j'en garde un souvenir impérissable. Armelle Carbonel a mieux réussi le récit de son Criminal loft. Même si la fin m'a également déçue, j'ai passé un meilleur moment avec les affreux candidats du couloir de la mort.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Un petit commentaire sympathique fait toujours plaisir ^^